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« In vivo » traite de la lutte contre le cancer par l’humour

par Bluebob
Le programme "In Vivo" de la Fondation ARC a choisi de parler de la lutte contre le cancer par le biais de l'humour

Avec le programme « In Vivo », la Fondation ARC choisit de changer sa communication sur la lutte contre le cancer. Ainsi, « In Vivo » permet à 5 chercheurs de présenter, avec une bonne dose d’humour et d’efforts de vulgarisation, leurs travaux de manière originale et accessible.

« In Vivo » réinvente la communication sur le lutte contre le cancer

Parler de cancer ou présenter des recherches contre le maladie contribuent toujours à faire tomber l’ambiance de quelques degrés. Ainsi, entre gravité des conséquences et hermétisme des mots scientifiques employés, les efforts généralement consentis par la communauté scientifique débouchent, au mieux, sur un peu d’incompréhension. Au pire sur de l’anxiété et du malaise.

Or, c’est la raison pour laquelle la Fondation ARC, dans un souci de mieux informer le public sur la recherche contre la maladie, a choisi de prendre la communication classique à contrepied pour se tourner vers l’humour avec le programme « In Vivo ».

Aussi, après avoir casté des dizaines de chercheurs en cancérologie dans toute la France, la Fondation ARC en a sélectionnés 5. Avec l’objectif de présenter leurs travaux différemment. Ainsi, par le biais de petites capsules vidéos bourrées d’humour, les scientifiques vulgarisent avec brio et légèreté des concepts parfois très pointus.

Pour cela, les 5 scientifiques ont été coachés par l’humoriste Karim Duval. Ce dernier les a aidés à manier texte, jeu, diction et gestuelle optimiser la transmission du message. En s’appuyant sur une bonne dose d »humour !

De fait, « In Vivo » est un pari largement gagné ! Les 5 vidéos sont ultra efficaces, drôles et limpides !

À vous de juger…

Les 5 vidéos du programmes « In Vivo »

Rafael Argüello, chargé de recherche au Centre d’immunologie de Marseille-Luminy

Sandra Claret, enseignante-chercheuse à l’Institut Jacques Monod de l’université de Paris

Christophe Bécavin, enseignant-chercheur en bio-informatique à l’université Côte d’Azur

Françoise Pflumio, directrice de recherche et responsable de laboratoire à l’Inserm

Aude-Marie Foucaut, maîtresse de conférences STAPS à l’université Sorbonne Paris-Nord.

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